Mobile first ?

Je suis resté « scotché » longtemps sur cette illustration, un extrait d’un énième rapport sur le monde moderne. Ce simple tableau était comme le polaroid terrifiant d’une situation personnelle, mais aussi un constat collectif.

Millenials

Ce simple graphique est tiré d’une enquête qui se passe de mains en mains, de séminaires en séminaires. Il résume un constat, le smartphone a attrapé quelques générations, et non plus seulement celle des Millenials mais aussi la génération Z, celles de nos ados d’aujourd’hui. Ces ados que j’ai à la maison tous les soirs.

Cette évolution pourrait être terrifiante car cet écran trop petit réinvente beaucoup de choses: la narration, la visualisation, le rythme, la concurrence entre les distractions et divertissements.

Les plus jeunes ont toujours eu des comportements différents de leurs aînés.

 

Rappelez vous.

 

 

La particularité du moment que nous vivons est que ces différences de pratiques peuvent s’installer plus durablement, sans retour en arrière, sans « normalisation » ultérieure. Internet a ouvert des vannes qu’on ne referme pas. Internet a ouvert plus d’écrans que jamais. Ce « choc de la diffusion » est plus important, plus disruptif, et plus prometteur qu’un simple changement des goûts et des pratiques.

 

Mobile first.